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ILS ÉTAIENT SIX - Cristina Funes-Noppen

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Description

Préface de Mark EYSKENS Ministre d'État

Présentation
Ce dernier livre de Cristina Funes-Noppen est avant tout un roman noir mais elle y fournit des informations exactes sur nombre de criminels nazis qui s’installèrent en Argentine après la deuxième guerre mondiale. Parmi ceux-ci s’y serait peut-être même trouvé Hitler ?!
La trame se déroule principalement dans le Sud des Andes en pleine culture quechua ; l’auteur y décrit les us et coutumes de la population autochtone d’origine aymara qui vit dans la vallée de Humahuaca.
Le lecteur trouvera également dans cet ouvrage un aperçu de l’évolution politique de l’Argentine couvrant la période 1945 – 1983.

Biographie
Cristina Funes-Noppen est ambassadeur honoraire de Belgique. Sa mère italienne, peintre surréaliste de renom ainsi que son père, lui aussi ambassadeur de Belgique, lui insufflèrent le goût du voyage, de la politique, de l’étrange.

Elle a vécu dans de nombreux pays, tous continents confondus, en contact avec diverses cultures. Ses œuvres se caractérisent par ses connaissances ethnographiques approfondies et par son esprit du « singulier ».
« Ils étaient six » est son dixième ouvrage.

 

Extraits choisis 

« Sora n’était certainement pas le type de femme qui lui plaisait, en fait ce n’était pas une femme mais une enfant de treize ans, mais qui sait ce qui le mût ! Klaus baissa son pantalon et la saillit comme l’aurait fait un animal »

 

« Klaus conseilla dès lors vivement à Ricardo Klement « l’homme de la solution finale », l’un des criminels de guerre des plus recherchés, ce dernier n’étant autre qu’Adolf Eichmann, de rester coi et d’essayer de se faire oublier. »

 

« Le yatiri, tout en mâchant du tabac, déploya alors ses feuilles de coca de façon circulaire afin de les lire et diagnostiquer le mal dont souffrait Milagro »

 

«  Lors de l’avènement de « la révolution libératrice » en 1955, le corps embaumé d’Evita Péron qui en 1952 avait été déposé et exposé au siège de Buenos Aires d’une centrale syndicale, la CGT, fut séquestré, profané et finit par être enterré dans un endroit gardé secret en Italie. Il fut par la suite déposé anonymement à Madrid en 1971, devant la maison où résidait Péron. »

 

« Le lendemain matin le poison avait fait son effet, Rodolfo qui se leva le premier et qui comme toujours s’était approché des berceaux de ses enfants pour les embrasser, trouva Keya le visage déformé, de la bave séchée autour de la bouche et sur le menton, son petit corps et sa couverture souillés d’excréments et évidemment elle était morte. »

 

« Il entra en transe, joua à un rythme effréné un tambour en bronze, entama une danse circulaire crescendo tout autour du corps de Milagro toujours étendue à même le sol. Elle n’était pas couverte pour se protéger du froid, mais maintenant elle avait chaud et transpirait à grosses gouttes. Le chamane, tout en dansant et jouant son tambour, chantait, priait et convoquait les esprits. »

 

« Bien que n’ayant aucun doute sur la véracité des histoires concernant Klaus et Ursula, ainsi que sur la présence d’Hitler sur le sol argentin, le maire, le curé et le yatiri se consultèrent et décidèrent qu’il serait nettement plus prudent de mettre fin aux rumeurs et qu’il fallait surtout éviter d’ébruiter cette information afin que Humahuaca puisse continuer à vivre en paix. »

 

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